Voici plus de 18 mois, que le Comité pour la Restauration des Institutions (CTRI) est au coeur d’une action sociale de grande envergure visant la mise à niveau structurelles des villes Gabonaises, à l’instar de la Commune d’Akanda qui a vu son infrastructure de base se renforcer dans divers secteurs.
À commencer par un pôle universitaire en pleine renaissance, plus précisément au quartier Bolokoboué avec le complexe universitaire polyvalent du Cap Estérias qui renaît de ses cendres parce que longtemps abandonné. Techniquement, cette superstructure universitaire est composée d’une université polytechnique, d’une université des sciences de l’éducation et d’un Institut supérieur des métiers. On parle d’une université qui dispose de toutes les fonctionnalités modernes, et capable d’intégrer toutes les attentes pédagogiques pour dispenser des formations de qualité qui profiteront aux étudiants du Grand Libreville (Owendo, N’toum, Libreville centre et Akanda).
Déjà, le regard des akandais ne manque pas de félicité pour cette infrastructure. Le cas d’un riverain à ce projet en reprise : » c’était un chantier déjà en construction, avant la mort du président Omar Bongo Ondimba. Aujourd’hui, le voir redémarrer montre que le projet se trouve dans une bonne dynamique «
Outre l’université de Bolokoboué, Akanda abrité également un lycée d’excellence, qui symbolise une nouvelle ère éducative portée par le CTRI. Et pour cause, ce projet phare en phase de finition et situé à une vingtaine de kilomètres de Libreville allie la modernité à la qualité architecturale car conçu pour répondre aux exigences de l’élite gabonaise.
Pour ainsi, il comprendra un collège d’enseignement secondaire (CES), un lycée, deux internats, une bibliothèque et des laboratoires à la pointe de la technologie. Ce qui augure déjà, une grande fierté pour les akandais : » nous voulons que nos enfants fassent partie des meilleurs élèves qui intégreront ce lycée. Avec cette infrastructure, nous avons enfin accès à une éducation de qualité sur place », a témoigné un habitant.
L’impact de ce projet est de plusieurs natures. D’abord, il permettra de renforcer l’offre éducative. Ensuite, il offrira aux élèves un cadre d’apprentissage propice à l’excellence.
Et que dire du logement et de l’économie locale qui ne sont pas en reste, puisque le 8 août 2024 l’État gabonais a livré une cité de 125 logements destinée aux personnels de la Garde républicaine. Baptisée en hommage au colonel Eugène Amongo, cette cité a favorisé l’essor d’activités économiques locales, notamment à travers le marché Bilogamingo.
Aujourd’hui, ce rôle de bâtisseur qui s’est imposé au CTRI au regard du déficits multi sectoriels hérités de l’ancien régime, est parfaitement bien perçu par les populations » avant on devait aller jusqu’au carrefour Chantal pour nos courses. Et aujourd’hui, on a tout sur place accès facile des axis ».
C’est dire qu’en un peu plus de 18 mois de gouvernance Cétériste, le pays a gagné en projets avec un impact direct sur les populations. On pourrait même dire qu’il est sorti comme par miracle de l’ère des éléohants blancs. Car tous les projets lancés par le CTRI, ont cette particularité d’aboutir.
Ce qui n’est que de bonne augure pour la suite, avec la perspective de réalisation du marché d’Akanda dont les contours techniques veulent que se soit un projet intégré (bureaux, espace commercial moderne et autres services sont au programme).
Autant de bonnes choses et surtout une vision très volontariste que le CTRI nous aura démontré tout au long de ces 18 mois derniers, que le peuple souhaite se poursuivrent. Aussi, l’annonce récemment faite par le ministère des Travaux publics portant sur l’allocation de plus de 31 milliards de francs CFA pour la construction des routes et d’autres équipements publics dans ville d’Akanda, ne peut que concourir au renforcement du contrat social entre le CTRI et le peuple. Nous parlons de ce peuple, qui est désormais conscient que seul un bilan positif peut porter un candidat à la magistrature suprême et qui fait de C’BON son candidat favori pour l’œuvre accomplit.
Aimé Jordan PANGO
